
Maisons à colombages
Architecture moyen-ageuse du centre ville


Décorations de noel
Place de la Motte
Rue de la Boucherie
La rue de la Boucherie est un remarquable site, très apprécié des touristes.Chaque année sa "Frairie des Petits Ventres" attire une foule considérable.
La construction de la cathédrale Saint-Etienne s’étend sur plusieurs siècles, entre le début en 1273 jusqu’à son achèvement de 1876 à 1888. On devine l’ancien palais épiscopal construit à la fin du XVIIIème siècle par l’architecte limougeaud Joseph Brousseau et les jardins à la française.
La seconde guerre mondiale porta un coup rude à la porcelaine de Limoges. Les porcelainiers décidèrent alors de renouveler la production. Ils firent donc appel à des designers qui créèrent des formes aussi originales qu’adaptées aux exigences pratiques. Ainsi Raymond Loewy proposa-t-il un service pour Air France en 1976.
4.513 places tout assis et 6.047 places assis-debout.
Le Zénith de Limoges est implanté entre le carrefour d'ESTER et celui d'UZURAT
Le Maire: Alain Rodet est né le 4 juin 1944 à Dieulefit (Drôme). Il est élu député dans la quatrième circonscription de la Haute-Vienne depuis 1981. Il fait partie du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, et est aussi maire de Limoges depuis 1990 et président des territoires de la communauté d'agglomérations de Limoges

Gare des Bénédictins
Remplaçant une première gare datant de 1856, l'actuelle gare des Bénédictins, conçue dès 1917, est construite de 1925 à 1929 pour la Compagnie du Paris-Orléans par Roger Gonthier, architecte de la compagnie, sous les ordres de l'ingénieur Julien. Établi au-dessus des voies sur une plate-forme en béton armé, l'édifice se signale par son décor d'architecture et ses sculptures en façade évoquant les activités industrielles de la ville et signées par Henri Varenne. Dans le hall d'accueil, un dôme de 31 mètres de haut, les verrières sont dues au maitre-verrier Francis Chigot ; elles combinent des motifs géométriques et végétaux (des feuilles de châtaignier). La gare, qui comporte aussi un campanile de 61 mètres de haut, a été protégée lors d'une campagne nationale sur l'architecture des 19e et 20e siècles. Elle a été réhabilitée par la SNCF en 1979. La couverture (charpente de la coupole et plaques de cuivre) a été détruite à 40% par un incendie le 5 février 1998.
1315 est une date qui va marquer l'histoire de la boucherie à Limoges. Les reliques de St Aurélien sont officiellement relevées et les bouchers décident d'en faire leur St Patron. En 1471, ils construisent la chapelle St Aurélien (à l'emplacement de la chapelle St Léonard en ruine). Les reliques de St Aurélien y sont alors déposées. La chapelle sera agrandie au XVIIème passant de 3 à 4 travées avec un clocher à bulbe encore existant.